Plus belle la vie à Eichstätt… Ou bien plutôt en France?

Karte Deutschland und Frankreich

Combien de France à Eichstätt, combien d'Allemagne à Rennes? Et quel rôle jouent Montbrison et Erlangen? Les relations franco-allemandes sur place sont multiples, il y a de nombreuses connexions croisées. Mais les acteurs ont une chose en commun: leur engagement pour le pays partenaire. Voici un aperçu des nombreuses activités franco-allemandes sur place. 

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Les relations franco-allemandes à Rennes et à Eichstätt

Réseau franco-allemand de la KU

Les jumelages de communes: le fondement des relations franco-allemandes

La réconciliation franco-allemande après la Seconde Guerre mondiale répondait à la volonté politique des gouvernants. C'était pour eux le seul moyen d'éviter une nouvelle guerre. En 1963, Konrad Adenauer et Charles de Gaulle scellent l'amitié franco-allemande par le traité de l'Élysée. Mais 13 ans avant cet acte symbolique, deux villes (Ludwigsburg et Montbéliard) avaient déjà entériné leur partenariat. A la signature du traité de l'Élysée en 1963, il existait plus de 50 jumelages entre des villes allemandes et françaises. Avec le traité, ils se sont multipliés. Aujourd'hui, il existe environ 2500 villes jumelées. Ils peuvent à juste titre être décrits comme le cœur des relations franco-allemandes.

Les organismes de coopération: des conseils et un soutien

Les organismes de coopérations binationale constituent l'épine dorsale des relations franco-allemandes. Ils veillent à ce que l'engagement individuel trouve un cadre. Ces organisations intermédiaires sont souvent situées dans la sphère intergouvernementale. Ils sont financés ou du moins soutenus par des fonds publics. Ils reversent ensuite cet argent à des citoyens, des étudiants, des associations ou à diverses initiatives. Par exemple, grâce au Fonds franco-allemand pour les citoyens, des ressources financières sont également disponibles pour ce projet afin de financer les prix du concours de photos, du quiz et d'une conférence.

Je ne parle pas français, aber bitte red' weiter...

Parler français ou allemand est une condition essentielle pour la coopération franco-allemande. Cela apparaissait déjà comme une nécessité dans les années 1960. Cependant, le nombre de personnes qui apprennent l'allemand ou le français est en baisse. Cela ne se remarque pas seulement à l'université, mais aussi dans les écoles. Mais qu’en est-il véritablement de l’enseignement de la langue du pays partenaire? Pourquoi les élèves apprennent-ils le français ou l'allemand?

Étudier l'allemand-français... beaucoup est possible

Étudier en France et voir ses acquis en français crédités sur ses études dans son pays d'origine : cela n'a plus rien d'exceptionnel. Il existe même aujourd'hui de nombreux doubles diplômes franco-allemands. Dans certains domaines, comme l'enseignement, les défis sont encore nombreux, mais dans un réseau comme celui de l'Université franco-allemande, il y a beaucoup d'expertise. Une fois par an, des experts allemands et français se rencontrent et partagent leurs expériences en matière d'organisation de programmes de diplômes conjoints. Nous demandons: Combien de partenariats la KU a-t-elle avec la France, ou l'Institut de politique de Rennes avec l'Allemagne?